Les oiseaux de Madagascar - partie Sud

17 Jours
À partir de 5900 €
Au départ de Paris
À partir de 5000 € au départ de Antananarivo
Prochains départs
Du 03 oct. au 19 oct. 2025
à partir de 5950 €
Durée
17 Jours
Période
D'octobre à novembre
Hébergement
Hébergement de charme
Niveau d’effort
Niveau 2
Activités
Observation nature
Groupe
5 à 7 participants max.

Une immersion 100% dédiée aux passionnés d'ornithologie

Les plus passionnés d’entre nous savent déjà à quel point l’île de Madagascar a donné naissance à une faune et une flore unique au monde au fil de son évolution. Chez les oiseaux, sur les 310 espèces recensées, 108 sont endémiques. Autrement dit, lors d’un premier voyage à Madagascar dédié à l’ornithologie, près d’un oiseau sur trois sera une nouveauté ! Guidé par un ornithologue au départ de France et divers spécialistes locaux, ce nouveau circuit de 17 jours est une traversée depuis les forêts humides, la côte Est jusqu’au bush épineux du sud : une grande variété d'écosystèmes différents pour un maximum d’espèces observées !

Si lémuriens et caméléons feront bien entendu partie du décor lors de ce voyage naturaliste à Madagascar, cet itinéraire est avant tout réservé aux passionnés d’oiseaux : choix des sites, rythme du voyage, spécialisation du guide… tout est pensé pour que vous puissiez observer un large éventail de la faune ailée de Madagascar, avec un focus particulier sur les espèces endémiques. Et pour cause : crécerelle, drongo, hibou, tourterelle, courol, coua, coucal, brachyptérolle, mésite, vanga… tous (parmi bien d’autres) existent dans une « version » 100% malgache !

Pour ce nouveau séjour, nous resterons campés sur nos acquis : un itinéraire déjà bien rôdé (équipe locale fidèle depuis 15 ans, circuit très similaire au pionnier « Merveilles malgaches ») mais avec quelques spots supplémentaires bien choisis (pour leurs oiseaux !), l'accompagnement d'un guide ornithologue au départ de France et de guides locaux compétents.

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Notre spécialiste vous accompagne
Julien Gonin
Julien Gonin

Responsable séjours LPO & ornithologiques, guide, expert en becs et plumes

02 53 35 37 63

Points forts & itinéraire

Points forts

  • Un voyage tout confort (pas de nuits sous tente), en petit groupe de 5 à 6 participants
  • Un guide ornithologue au départ de France et des guides locaux dans la plupart des réserves visitées
  • Un circuit de 17 jours qui permet de rester plusieurs nuits sur les étapes clés que sont les forêts tropicales du complexe du Mantadia-Analamazoatra et celles de Ranomafana
  • Une version adaptée de notre circuit "merveilles malgaches" avec des spots supplémentaires pour optimiser le nombre d'espèces d'oiseaux à observer
  • Une date unique à la meilleure saison

Itinéraire du voyage

  • Jour 1  PARIS - ANTANANARIVO

    Départ de Roissy Charles de Gaulle pour Antananarivo sur vol régulier Air Madagascar. Dîner et nu...

  • Jour 2 ANTANANARIVO – PERINET

    Arrivée dans la capitale malgache tôt le matin. Accueil à l’aéroport par notre guide et après...

  • Jour 3 PARC D'ANALAMAZAOTRA

    Nous voilà partis pour 2 journées pleines dédiées à l’observation de la faune malgache. Cette...

  • Jour 4 PARC NATIONAL DE MANTADIA

    Nous retrouvons notre guide pour découvrir une autre partie de la forêt, nettement moins bien amé...

Dates & Prix

Du 03 oct. au 19 oct. 2025
Complet

Détails du prix

Madagascar - Les oiseaux de Madagascar  - partie Sud
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Notre conseiller spécialiste est à votre écoute pour vous accompagner dans la création de votre voyage sur mesure selon vos envies et votre budget.

Guide(s) pour ce voyage

Philippe Dubois
Philippe Dubois
Guide

 

Philippe J. Dubois est ornithologue, écologue, écrivain et conférencier. Il dirige les éditions Delachaux & Niestlé et est responsable du programme « biodiversité et changement climatique » à la LPO. Il est en outre directeur de publication de la revue Ornithos et membre de la direction plusieurs instances ornithologiques nationales.

Sa passion des voyages ornithologiques depuis près de 40 ans l’a fait parcourir le monde et visiter des dizaines de pays. Il est l’auteur d’un livre Les tribulations d’un chercheur d’oiseaux aux éditions La Martinière  - 2014. Ce livre raconte ses plus belles expéditions. Son expertise de terrain est un gage pour la réussite d’un voyage ornithologique.

Informations pratiques

Informations pratiques

Effort : Niveau 2

Vous aimez marcher ou pratiquer un peu d’activité physique. Certains jours, les randonnées peuvent durer 4 à 5 heures et atteindre 500 m de dénivelé, mais pas forcément tous les jours.

Temps de marche : 3 à 5 heures / jour en moyenne
Dénivelé : 500 m max/jour
Portage : sac à dos journée maximum
Condition physique : Vous êtes en bonne santé et avez l’esprit ouvert


Ce voyage ornithologique à Madagascar ne présente pas de grandes difficultés physiques. Nos sorties sur le terrain sont des balades rythmées par de longs moments d'observation. Seuls les parcs nationaux de Ranomafana et Isalo présentent des terrains plus accidentés: sentiers boueux, vallonnés et végétation serrée à Ranomafana (3 journées complète sur le terrain), sentiers rocailleux et parfois sous un fort soleil à Isalo.

Hébergement de charme

Profitez du calme et de l’intimité qui règnent dans ces petites structures hôtelières. Le charme du lieu, le nombre limité de chambres ainsi que l’accueil chaleureux sauront vous séduire. Quelle que soit votre destination, vous pourrez apprécier tous les services qui vous sont proposés ainsi que l’emplacement de ces hébergements qu’ils soient en pleine nature où en ville.

Passeport : Votre passeport doit être obligatoirement en cours de validité au moins 6 mois après la date de retour de votre voyage.

Terres Oubliées et Escursia se dégagent de toutes responsabilités si votre entrée dans le pays vous est refusée pour non-respect des règles douanières.

Le visa est gratuit pour les séjours de moins de 15 jours, mais les voyageurs devront alors s’acquitter de frais administratifs d’un montant de 10 euros pour les formalités de contrôles aux frontières. Le visa est en revanche payant pour les séjours dont la durée est comprise entre 15 et 60 jours (Visa 30 jours : 35 euros ; visa 60 jours : 40 euros).

Il existe un système de e-visa via ce lien https://evisamada-mg.com.

Mais nous vous conseillons actuellement d’attendre et de le faire directement à l'arrivée à Madagascar. Le e-visa ne vous fait pas gagner de temps et les démarches sont beaucoup plus simples à l’aéroport.

Aucune vaccination n'est obligatoire sauf la fièvre jaune pour les voyageurs venant de pays infestés. Si c'est le cas, le vaccin devra avoir été fait au moins 10 jours avant le départ.

Madagascar dans son ensemble est considéré comme une zone impaludée, prévoir un traitement anti-paludéen à se faire prescrire par un médecin. Il est conseillé de prendre un traitement de type Savarine qui est suffisant  dans le Sud, l'Ouest et le Nord de l'île de Madagascar et un traitement de type Malarone plus adapté pour  les voyages à l'Est du pays.Il va de soit qu’il faut se protéger contre les piqûres de moustiques en utilisant des répulsifs efficaces, ou produits vaporisants à appliquer sur les moustiquaires.

La consultation de votre médecin pour les conseils médicaux est nécessaire.

Conseils

Rapporter avec soi les déchets non-destructibles (sacs plastiques, piles, lingettes, batterie, spray et contenants de produits d’hygiène vides etc..). Rares sont les pays ayant ces structures de gestion et recyclage des déchets. De manière générale limiter les emballages et privilégier les biodégradables. 
A savoir : les destinations interdisant l’importation de sacs plastiques sont de plus en plus nombreuses, éviter d’en emporter en voyage et dans tous les cas les rapporter chez vous si vous en avez. 

Laisser toujours intact un lieu de bivouac ou de pique-nique, même s’il s’agit de déchets qui sont ou semblent biodégradables. 

Chaque voyageur est invité à avoir une consommation d'eau raisonnée lors des douches et encore plus dans les pays où elle se fait rare.

Hygiène : 

  • Savon multi-usages solide et biodégradable (shampoing, corps, lessive) ou liquide en contenant à remplir à chaque voyage.
    Dentifrice bio
  • Crème solaire biodégradable minérale qui respecte les fonds marins.
  • Protection anti-moustiques à l’icaridine (éviter le deet).
  • Gant de toilette et/ou lingettes lavables en tissu, ou biodégradables de type fibre de bambou qui seront séchées et brûlées.
  • Oriculi ou cotons tiges biodégradables
  • Idéalement pour les femmes : coupe menstruelle, serviettes hygiéniques lavable ou culottes menstruelles.
  • Lingette lavable aux ions d’argent pour les pauses pipi en randonnée
  • Mouchoir en tissu

Petit matériel : 

  • Gourde impérative (éventuellement gourde filtrante selon votre voyage) et/ou pastilles purificatrices d’eau / thermos. Nous avons un partenariat avec Katadyn sur la gourde filtrante Be Free et vous pourrez bénéficier d’un code de réduction de 30%, nous le demander à votre inscription.
  • Un kit de couverts réutilisables si demandé dans la liste d’équipements de votre voyage
  • Petite batterie externe (à mettre en bagage à mains)
  • Cendrier de poche pour les fumeurs

Pour aller plus loin

Guide: Notre équipe locale francophone sera au rendez-vous pour vous accompagner! Parmi eux, Momo et Fano, deux fidèles guides depuis des années parmi nous...
 
Climat :
Le climat en octobre-novembre sur notre circuit est caractérisé par sa variabilité : nous aurons assez chaud dans le sud (30°C) et nous pouvons compter sur des températures plus fraîches dans les hautes terres (23°C en journée, 10 à 12° le soir). Même amplitude des précipitations : elles sont quasi nulles dans l'extrème sud mais des risques d'averses sur les étapes de Ranomafana et Mantadia-Andasibe sont réels.                    

Hébergement et nourriture :
L’un des grands atouts de l’Ile Rouge est qu’elle met à la portée de tous une nature sauvage, totalement inédite. Pas besoin donc de monter des campements et de dormir sous la tente pour profiter des merveilles malgaches dans la moitié sud de l'île! Que ce soit dans un cadre tropical, au bord de l’océan ou aux portes de grandes étendues désertiques, nos hébergements sont la plupart du temps de petites structures familiales qui offrent des bungalows confortables (avec salles de bain privatives et électricité pour la recharge de vos batteries) et proposent de bons repas locaux, le plus souvent à base de riz (recommandé, le meilleur des médicaments préventifs aux troubles intestinaux!).  Souvent en pleine nature, ils offrent un cadre relaxant et les observations animalières seront nombreuses à deux pas de votre chambre ! 

Bon à savoir :

Poids des bagages.

Les consignes données par la compagnie aérienne Air Madagascar sont les suivantes.
VOL LONG COURRIER
EN SOUTE, 30kg, dimensions : L + l + H = 158cm
EN CABINE, 1 pièce de 12kg, dimensions :L + l + H=115cm

VOL DOMESTIQUE
EN SOUTE, 20kg
EN CABINE, 1 pièce de 6kg

N.B: le bagage à main n'est que très rarement pesé et quelques kilos de plus sont facilement dissimulables!

Photos : Aucune autorisation n’est demandée à Madagascar pour la photographie. Comme dans tous voyages, il faut respecter les populations et leur demander au préalable si vous pouvez les prendre en photo. Cela étant, Madagascar est l’un des pays où la population locale est demandeuse, sans contrepartie. Vous vous vous verrez ainsi rarement refuser une image et les enfants auront même tendance à en réclamer!
 
Monnaie : Attention, l'unité monétaire à changé. L'ancien franc malgache (Fmg) a été remplacé par l'ariary (Ar). Sachez qu'un ariary, mot signifiant " cinq ", vaut cinq fois moins qu'un Fmg (soit 1 Ar = 5 Fmg). Les anciens billets de 25 000, 10 000, 5 000, 2 500, 1 000 et 500 Fmg sont remplacés par les nouveaux billets de 10 000, 5 000 et 2 000 Ar. Pour assurer la transition, les billets de 25 000 et 10 000 Fmg sont les seuls à conserver leur cours légal jusqu'au 30 novembre 2004. Il existe aussi une série de pièces de monnaie. La plupart étaient déjà frappées du sceau de l'ariary et le resteront donc. 10 000 Ar = 4 euros environ. Vous pouvez changer les euros à votre arrivée dans le pays, à l'aéroport.

Pourboires: Ils ne sont pas institutionnels à Madagascar mais les prix ci-dessous (par personne dans le cadre d'un groupe) donnent une idée des attentions qui peuvent être laissées.
- Au bagagiste dans un hôtel: environ 1000Ar/ bagage  (soit un peu moins de 0,30 €)
- Au restaurant : +/- 10% du montant de l’addition
- A un guide local dans un parc : 20 000 à 30 000 Ar par jour (soit un peu plus de 2 €) pour le groupe
- A un porteur dans un parc : 10 000 Ar par jour  (soit un peu plus de 1 €) pour le groupe
- Au chauffeur  du groupe : 15 000 Ar par jour (soit un peu plus de 1,5 €) pour le groupe
- Au guide du voyage: 20 000 Ar par jour (soit un peu plus de 2€) pour le groupe

Cadeaux:
Lors de ce voyage, les opportunités de laisser quelques attentions aux malgaches sont nombreuses. N'hésitez pas à emporter quelques vêtements qui ne servent plus, des cahiers, des stylos ou quelques bonbons! (sans emballage individuel pour diminuer la pollution par les déchets)

Equipement conseillé :

Vêtements :
–  6 tee-shirts manches courtes. Les matières synthétiques éloignent l’humidité et sèchent rapidement. Le coton
restera le plus confortable pour d’autres ;
– 1 ou 2 tee-shirts ou chemises à manches longues pour se protéger du soleil, des insectes ou de la fraîcheur ;
– 1 petite laine polaire ou 1 sweat-shirt ;
– 2 shorts ;
– 1 ou 2 pantalons légers de randonnée ;
– sous-vêtements et chaussettes
– 1 chapeau ;
– 1 maillot de bain

Chaussures :
– 1 paire de chaussures de marche : en bon état, confortables et « respirantes » (évitez les chaussures neuves).
– 1 paire de sandales de randonnée. À ne pas négliger car ses usages sont multiples : plage, bateau, douche…Il s’agit de chaussures ouvertes, aérées, mais qui tiennent au pied, à la différence de tongs ;
– 1 paire de lacets de rechange.

Accessoires divers (autre que le matériel photo) :
– Une lampe frontale. Très utile pour les sorties nocturnes, son intérêt est double par rapport à une lampe torche. Elle vous laisse les mains libres pour prendre des photos et dispense un éclairage à hauteur du regard, ce qui permet de déceler les reflets des yeux des animaux. Les premiers modèles conviennent mais si votre budget le permet, un modèle plus haut de gamme et plus puissant est recommandé pour faciliter l’observation des mammifères nocturnes ;
– une cape de pluie, ou poncho. L’intérêt par rapport au K-Way® est son côté ample qui vous permettra d’y glisser votre sac à dos pour le protéger de la pluie. Un modèle d’entrée de gamme, manches courtes fera l’affaire
– une paire de jumelles. Vaste choix de modèles et de budget, prenez le temps de bien les choisir ;

- Une longue vue pour les plus courageux
– lunettes et crème solaire ;
– de l’antimoustique
– un adaptateur pour les prises de courant. Si vous n’en disposez pas, privilégiez l’achat d’un adaptateur universel (15 €), une bonne fois pour toutes ;
– du savon biodégradable (noir, de Marseille ou d’Alep) pour vous et votre linge. Dentifrice biodégradable également dans l’idéal ;
– une serviette microfibre (type « peau de chamois »), à l’encombrement réduit et au séchage rapide ;
– une trousse de premiers soins : pansements, désinfectant/antiseptique, antidiarrhéique, paracétamol, thermomètre, solution hydroalcoolique…
- tire-tique (disponible en pharmacie)
– quelques sacs congélation et sacs poubelles aux usages multiples !

Ne pas oublier :
– votre passeport
– votre carte bancaire internationale
– vos papiers d’assurances
– de la monnaie locale
– vos médicaments personnels
- vos billets d'avion
- une photocopie de vos papiers importants (passeport)

Equipement divers: ne pas oublier– piles, bateries et cartes mémoires en nombre suffisant
– vos chargeurs
– la notice de votre appareil/ boitier
– un kit de nettoyage (poussière notamment)

Voyage d’observation au pays de l’endémisme insulaire.

Pour les biologistes, Madagascar est un vaste laboratoire de l’évolution grandeur nature : un territoire à part où la vie s’est forgée de façon originale. Madagascar se sépara du continent africain il y a environ 160 millions d’années, entraînant avec elle un capital faunistique et floristique primitif qui s’éteignit en Afrique mais prospéra sur l’île en y développant de nouvelles formes.

Les îles en général sont connues pour le particularisme de leur faune et de leur flore. Lorsque les plantes et les animaux s’y sont suffisamment différenciés pour former des espèces uniques au monde, on parle d’endémisme. A Madagascar, le taux d’endémisme atteint des records : la majorité des formes de vie qu’on peut y observer ne sont visibles nulle part ailleurs !
La flore locale s’élève à 8500 espèces (mais comme beaucoup restent à découvrir, certains botanistes estiment que le total pourrait atteindre 1 200 taxons). Sur les espèces actuellement répertoriées, près de 6 000 sont endémiques à Madagascar et 8 familles de plantes parmi les 191 existantes n’ont pas de représentant en dehors de l’île.

L’endémisme animal atteint des proportions identiques : chez les oiseaux, sur 310 espèces, 108 sont propres à Madagascar dont plusieurs familles lui sont exclusives (voir la liste complète ici: https://avibase.bsc-eoc.org/checklist.jsp?region=MG). Du côté des mammifères, le phénomène d’endémisme est encore plus marqué : il trouve son aboutissement extrême avec la trentaine d’espèces de lémuriens aussi étroitement associés à Madagascar que peut l’être la girafe à l’Afrique. Avec les reptiles (257 espèces) et les amphibiens (144), on pousse encore plus loin l’illustration : ainsi, tous les amphibiens malgaches (à l’exception de 2) sont-ils introuvables en dehors ; et c’est à Madagascar que vivent les deux tiers de toutes les espèces mondiales de caméléons. La communauté des invertébrés n’est évidemment pas avare de formes originales. Mais encore aujourd’hui, des milliers d’insectes (et combien d’acariens ?) vivent dans l’anonymat au cœur des forêts profondes et des reliefs difficilement accessibles.

Si l’on ajoute à ce séduisant tableau faunistique et floristique la diversité des milieux naturels malgaches (secs ou humides) et la multiplicité des groupes ethniques (issus d’Afrique et d’Asie), on trouve des raisons supplémentaires de visiter ce pays, malheureusement affecté par une situation économique critique et un phénomène difficilement maîtrisable de déforestation massive.
Notre circuit constitue une approche pluridisciplinaire de la biodiversité malgache et offre de multiples opportunités de photographier la nature locale, depuis la macrophotographie (petite faune, flore) jusqu’à l’usage du téléobjectif (oiseaux, mammifères), en passant par le grand angle (paysages).

En savoir plus sur les régions visitées :

Perinet :

Cette réserve d’état proche de la capitale malgache est une autre étape incontournable de tout circuit naturaliste à Madagascar.
Située sur un massif cristallin constitué de collines (altitude autour de 1 000 m), abondamment arrosée de surcroît (1 700 mm de pluie / année), la réserve protège un bel ensemble de forêts tropicales peuplées de fougère arborescentes au port altier.
La plupart des touristes se déplacent à Perinet pour voir l’indri, le plus grand lémur actuel (un mètre de longueur environ). Si sa silhouette n’est pas sans évoquer celle d’un ourson, ce sont ses émissions vocales qui laisseront le souvenir impérissable d’un contact plus ou moins rapproché avec lui : à l’aube et au crépuscule, les indris jalonnent les territoires de leurs clans respectifs en poussant des cris modulés, véritablement extraordinaires, dont la portée est de 3 km. L’indri est une des grandes voix de la nature ! Dans l’ambiance feutrée de la forêt qui s’éveille au petit matin sous ses dentelles de brume, le chant des indris a quelque chose de magique…
Perinet a beaucoup d’autres choses à offrir : les caméléons y sont abondants, depuis les plus minuscules (quelques centimètres de longueur) jusqu’aux plus robustes à rostres nasaux. Quelquefois, on surprend la sieste d’un boa aux reflets améthyste, dans une clairière herbeuse, près du poste des gardes, voire à quelques dizaines de mètres de notre lieu d’hébergement. Si les serpents sont nombreux à Madagascar, aucun n’est venimeux, phénomène suffisamment rare sous les tropiques pour être noté ici.
Même richesse chez les amphibiens de Perinet (24 espèces dont la très localisée Mantella aurantica, une grenouille entièrement dorée qui ne vit nulle part ailleurs). Petites mares et cours d’eau procurent un habitant très favorable à tous ces vertébrés amphibies.
Du côté de l’avifaune, une liste de 109 espèces permet d’observer l’étrange vol circulaire du courol (un oiseau « façon rollier » qui forme une famille à lui seul !). Des râles discrets, des rolliers terrestres ou des philépittes (passereaux endémiques aux faux airs de souis-mangas) peuvent ponctuer une balade d’observation à Perinet, le long de sentiers faciles et sous la conduite de guides locaux très performants.
La nuit, les observations et la photo peuvent se poursuivre si l’on souhaite surprendre la faune endormie (caméléons) ou au contraire en activité : lémuriens nocturnes, grenouilles, araignées…

Ranomafana :

Avant d’être un sanctuaire de la vie sauvage malgache, Ranomafana (qui signifie «eau chaude ») fut d’abord une ville thermale, au temps de l’ère coloniale.
En 1986, la découverte de l’hapalémur doré, une nouvelle espèce de lémurien vivant aux côtés d’un autre hapalémur dans les mêmes forêts de bambou, fit sensation ! L’un se nourrit des feuilles de cette plante ; l’autre ronge sa tige…
Avec 12 espèces de lémuriens (dont le mythique aye-aye), Ranomafana s’imposa dès lors comme une zone à protéger d’urgence et un parc national fut créé en 1990, associant étroitement la population locale, en particulier d’un point de vue économique. Sur un panneau qui jouxte le petit musée on peut lire l’inscription : « Harmoniser la conservation de la forêt tropicale avec le développement des habitants de Ranomafana ». Les guides locaux qui font découvrir la zone protégée sont d’ailleurs reconnus pour leurs compétences (ils ont été formés au contact des scientifiques venus étudier la nouvelle espèce de lémurien).
Les richesses faunistiques du parc (40 000 ha) incluent aussi 4 espèces de rolliers terrestres, cette famille d’oiseaux endémique à Madagascar (qui ne compte d’ailleurs en tout que 5 représentants).
Ranomafana protège une série de collines étagées entre 800 et 1200 m d’altitude : la végétation, de type tropical humide, y est exubérante, avec des épiphytes variées accrochées aux branches des arbres (pluviosité annuelle : 2 600 mm répartis sur 200 jours). Des cours d’eau alimentent la rivière Namorona, dont la descente est interrompue par de belles cascades.
Certains participants de notre groupe préfèreront sans doute des balades faciles, au contact des lémuriens habitués aux visites ; alors que les autres opteront pour une excursion naturaliste d’une journée afin d’explorer la fameuse bambouseraie dans l’espoir de surprendre le plus rare des lémuriens de Madagascar, celui dont on ignorait encore l’existence il y a 15 ans.

Isalo :

L’isalo est aussi célèbre à Madagascar que le Grand Canyon aux Etats-Unis ! Et pour cause : c’est avant tout un univers minéral, de type gréseux, modelé par l’érosion.
Le parc couvre plus de 81 000 ha et l’altitude varie de 514 à 1268 m. Les journées y sont chaudes, car son emplacement relève déjà de la zone aride qui caractérise le Sud-Ouest de Madagascar. Mais une particularité du massif de l’Isalo est la permanence de l’eau, sous forme de rivières claires, s’élargissant parfois en vasques salutaires, puisque propices à la baignade.
Le long de ces cours d’eau, la vie s’est enracinée dans l’exubérance qui caractérise les milieux de types oasis entourés de territoires plus hostiles (les précipitations locales ne sont que de 850 mm / an). Les ripisylves de l’Isalo sont réputées pour leurs palmiers du genre Chrysalidocarpus (isaloensis, cela va sans dire !) et leurs formations de pandanus.

A l’écart des rubans de verdure qui serpentent en suivant le tracé des cours d’eau, une flore adaptée à la chaleur joue aussi la carte de l’originalité et de l’endémisme : citons Aloe isaloensis et Pachypodium rosulatum , variété gracilius, des plantes capables de stocker des réserves d’eau pendant la longue saison sèche. Les pachypodiums (littéralement « pieds de pachydermes ») sont souvent confondus avec des baobabs miniatures dont ils ont le tronc large et évasé. Leurs grosses fleurs jaunes s’épanouissent à partir du début de juillet (avec un peu de chance, nous en profiterons donc…).

Ce n’est pas prioritairement la faune, mais le paysage (et ses particularités botaniques) que l’on vient voir à Isalo. Néanmoins, 55 espèces d’oiseaux, essentiellement associées à la galerie forestière qui ceinture les rivières, animent les lieux, ainsi que 3 espèces de lémuriens. Sur le plan ornithologique, jusqu’à une date toute récente, l’Isalo était considéré comme le seul lieu de vie d’un turdidé rupicole, le merle de roche de Benson. Des études d’ADN ont finalement montré qu’il était préférable de ne pas séparer cet oiseau du monticole de forêt, plus largement représenté, bien qu’endémique à Madagascar.
Une excursion d’une journée, sans difficulté majeure, nous mènera au Canyon des Singes (évidemment des lémuriens) et au site de la Piscine Naturelle, une délicieuse étape rafraîchissant au bord de l’eau, dans un écrin de verdure qui présente bien des points communs avec la projection du paradis terrestre de nos rêves.

Tulear / Ifaty :

Au bord de l’océan, près de la ville de Tulear, un milieu unique au monde présente superficiellement quelques ressemblances avec les semi-déserts à cactus d’Amérique : c’est le domaine des didiéracées, une famille botanique endémique à Madagascar. Une certaine affinité avec les cactées du Nouveau Monde est démontrée par la possibilité de greffer artificiellement ces deux groupes entre eux. Mais plus qu’une véritable parenté, il s’agit là d’un exemple éloquent d’évolution convergente de deux familles géographiquement séparées qui présentent des caractéristiques communes en réponse à une adaptation à des conditions d’existence semblables (en l’occurrence l’aridité). Tous les membres des didiéracées sont dioïques (les floraisons mâle et femelle intervenant sur des pieds séparés). Ces plantes perdent leurs petites feuilles pendant la saison sèche mais conservent le revêtement d’épines qui caractérise la majorité d’entre elles. Alluaudia ascendens  porte bien son nom, puisque certains exemplaires atteignent 15 m de développement en hauteur. Didierea madagascariensis est communément appelé « arbre-pieuvre », en raison de la structure rayonnante de ses ramifications, à la manière de tentacules tendus.

Le « désert épineux » du Sud de Madagascar est abondamment pourvu en euphorbes, parfois cactiformes elles aussi, parce que soumises aux mêmes contraintes de leur environnement. Ces plantes exsudent toutes un latex, généralement toxique. Les aloès (familles des liliacées) sont un genre botanique également bien présent (60 espèces endémiques). Quant aux baobabs, Madagascar constitue leur véritable patrie, avec 7 espèces (contre une seule en Afrique). Les plus adaptées à la sécheresse du Sud-malgache ont l’apparence d’outres renflées.

Le rare rollier terrestre à longue queue est l’oiseau le plus menacé par la disparition de ce milieu original, étonnamment peu protégé et soumis, de fait, à une déforestation inquiétante ; les troncs de certaines didiéracées et les baobabs étant transformés en charbon de bois et en matériaux de construction par les populations riveraines très pauvres. Certains locaux se sont fait une spécialité dans la recherche d’espèces aviennes rares et localisées qu’ils montrent aux naturalistes de passage, avec une rare science de la forêt épineuse où ils sont nés.

Notre hébergement à l’hôtel est agréablement situé sur la plage à partir de laquelle, il est possible de découvrir le récif corallien en apnée, en empruntant une barque locale.

Dans un souhait de redistribution de la valeur nous avons choisi de collecter un montant précis par voyageur parti dans l’année (inclus dans le prix du voyage, pris sur notre marge exclusivement) : 2 euros pour un voyage en France / 4 euros pour un voyage en Europe et 6 euros pour le reste du Monde. À la fin de l’année Escursia/Terres Oubliées abonde et multiplie par deux ce montant. Nous publierons un rapport d’activité à la fin de chaque année pour décrire comment ces dons ont été distribués aux 4 associations/ONG sélectionnées à savoir l'ASPAS, Coeur de forêt, Project Rescue Ocean et ASA Madagascar. En savoir plus sur les associations choisies et sur les projets financés.

Questions fréquentes

Vous avez des questions ? Les réponses se trouvent peut-être ici :

  1. Le descriptif : Prenez bien le temps de lire les informations inhérentes au voyage contenues dans nos fiches techniques. Vous y trouverez de nombreux renseignements pratiques indispensables à la préparation de votre voyage. N'hésitez pas à nous contacter pour toute précision ou demande particulière.
  2. L’inscription : Chez Terres Oubliées, elle se fait par téléphone et via votre espace personnel. Il vous suffit de rentrer en contact avec nous : les coordonnées du créateur du voyage qui vous intéresse se trouvent en haut de chaque page des voyages sur le site internet. Nous vous préparons un devis avec un plan de vols valable entre 2 et 5 jours, le temps pour vous de prendre votre décision.
  3. La confirmation : Nous matérialisons votre inscription par la mise à disposition dans votre espace perso, d’un bon de commande récapitulant les conditions de votre voyage. Il vous faudra le valider pour confirmer définitivement votre participation. A l’inscription, nous vous demandons un acompte de 40 %. Le solde de votre dossier devra nous parvenir au plus tard 45 jours avant la date de départ. A réception de celui-ci, une facture soldée vous sera envoyée.
  4. Le Dossier Voyage : Une quinzaine de jours avant votre départ, vous recevrez un mail vous invitant à vous rendre sur votre espace personnel où vous trouverez tous les éléments nécessaires à votre départ : contacts sur place, lieux et horaires de rendez-vous, vos billets d'avion ainsi que toutes les informations utiles.
Notre assurance fonctionne dès l’inscription et ce quelle que soit la date de réservation de votre voyage…

Important : Concernant la billetterie, les compagnies aériennes nous obligent à émettre les billets de plus en plus tôt, nous avons donc souscrit des garanties qui nous permettent le remboursement des frais réels d’annulation si le dossier sinistre est pris en charge. Si vous ne souscrivez pas notre assurance annulation spécialement conçue à cet effet (émission des billets d’avion à plus d’un mois du départ), nous vous invitons à prendre contact avec votre assurance afin de vous assurer qu’elle prendra en charge tous les frais engendrés par une émission de billet d’avion à plus d’un mois de votre départ. Dans tous les cas, si Terres Oubliées émet votre billet d’avion à plus d’un mois de votre départ et que vous annulez votre voyage sans assurance annulation, Terres Oubliées vous facturera les frais engendrés par cette émission de billet d’avion déduction faite d’un remboursement éventuel de la compagnie aérienne.

Concernant l’assurance assistance – rapatriement : les assurances classiques (carte bancaires ou personnelles multirisques) ne couvrent généralement pas les frais liés au « rapatriement primaire », c'est-à-dire depuis votre lieu de trek jusqu’à la ville la plus proche. Si un 4x4 doit être spécialement dépêché pour vous récupérer quelque part dans le désert, le coût de cette prestation n’est pas pris en charge par les assurances classiques. Notre assurance est spécialement étudiée pour couvrir cela.

Au moment de l’inscription, Terres Oubliées vous propose de souscrire aux différentes assurances proposées par notre partenaire ASSURINCO qui comprend les différentes options suivantes citées ci-après. Si vous choisissez de souscrire à l'une d'entre elles, toutes les précisions concernant les modalités et coût de celle-ci vous seront communiquées par votre conseiller au moment de votre inscription. Le détail précis des conditions de fonctionnement de nos assurances pourra vous être envoyé avant votre inscription sur simple demande.

Assurance Multirisque Confort Monde
Ce contrat très complet vous permet de bénéficier des garanties suivantes : annulation (maladie*, décès d'un proche etc.), assistance rapatriement, frais de recherche ou de secours, remboursement complémentaire des frais médicaux et avance des frais médicaux à l'étranger, dommages aux bagages, interruption de séjour, retard de transport, départ et retour manqués, responsabilité civile vie privée à l'étranger... Cette assurance sera facturée en fonction du montant unitaire de votre voyage selon le barème suivant :

58 € /personne pour les voyages compris entre 1201 € et 2000 €

84 € /personnepour les voyages compris entre 2001 € et 4000 €

149 € /personne pour les voyages compris entre 4001 € et 8000 €

266 € /personne pour les voyages compris entre 8001 € et 15 000 €

* Maladie : Inclut les épidémies ou pandémies type Covid 19 à savoir résultat positif d'un Test PCR avant départ uniquement pour les destinations qui l'imposent, une franchise de 10% du montant des frais d'annulation sera retenue. Annulation suite impossibilité de se faire vacciner avant départ, Rapatriement en cas d'épidémie ou de pandémie à destination, pris en charge des frais hôteliers suite à une mise en quatorzaine à destination…

Limitation de la garantie : L’indemnité due en vertu de la garantie. Annulation ne peut dépasser le montant réel des pénalités facturées dans la limite du barème fixé aux conditions particulières suite à l’annulation du voyage. Dans tous les cas, l’indemnité ne pourra excéder les montants suivants : pour toutes prestations : maximum de 50 000 euros TTC par personne avec un maximum de 135 000 euros TTC par évènement, quel que soit le nombre de personnes assurées.

Assurance Multirisque Confort France
Ce contrat très complet vous permet de bénéficier des garanties suivantes : annulation (maladie*, décès d'un proche etc.), assistance, rapatriement, frais de recherche ou de secours, remboursement complémentaire des frais médicaux et avance des frais médicaux, dommages aux bagages, interruption de séjour, retard de transport, départ et retour manqués, responsabilité civile...Cette assurance sera facturée 22 € par personne pour tous les voyages en France quel que soit le montant du voyage.

Assurance complémentaire CB Multirisque Confort Monde
Ce contrat permet de compléter les plafonds et/ou garanties de votre carte bancaire pour bénéficier des garanties suivantes : remboursement des frais d'annulation, dommages aux bagages, interruption de séjour, individuelle accident, responsabilité civile vie privée à l'étranger, assistance rapatriement, frais de recherche et de secours, remboursement complémentaire des frais médicaux et avance des frais médicaux à l'étranger... Cette assurance sera facturée en fonction du montant unitaire de votre voyage selon le barème suivant :

18 € /personne pour les voyages compris entre 200 € et 1200 €

28 € /personne pour les voyages compris entre 2001 € et 5000 €

69 € /personne pour les voyages compris entre 5001 € et 15 000 €

Assurance Assistance Rapatriement
Ce contrat permet de bénéficier des garanties suivantes : assistance rapatriement, frais de recherche et de secours, remboursement complémentaire des frais médicaux et avance des frais médicaux à l'étranger. Cette assurance sera facturée 1 % par personne quel que soit le montant du voyage. Réduction Famille : Sur toutes les assurances une réduction de 30% sera appliquée sur le montant de celle-ci pour toute famille de 4 à 9 participants qui s'inscrit sur un même voyage et qui fera l'objet d'une seule facture.

Important : En cas de non souscription à l’une des assurances citées ci-dessus, nous vous demanderons via votre espace personnel au sein de notre site internet, de renseigner la rubrique concernant les coordonnées précises de votre assurance personnelle avec numéro de police, nom de l'assurance et numéro de téléphone d'assistance. En cas de sinistre, nous pourrons ainsi contribuer à mettre en jeu vos garanties d’assurances si vous n'êtes pas en mesure de le faire vous-même.

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À deux ou à plusieurs, en famille ou avec vos amis, un voyage sur-mesure selon vos envies !

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6 bonnes raisons de voyager avec Terres Oubliées

Indépendant et responsable depuis plus de 20ans

Une identité forte et indépendante construite avec détermination au fil des années dans laquelle les voyageurs se reconnaissent.

Une équipe d’experts et des itinéraires maitrisés

Des véritables spécialistes à l’écoute de vos attentes, des itinéraires minutieusement tracés et des guides expérimentés pour faire de chaque voyage une expérience unique.

Engagés pour la planète

Membre du réseau ATD, des engagements forts au quotidien et des voyages engagés pour contribuer activement à la préservation la planète et de ses écosystèmes.

Des groupes limités à 8 participants

Des voyages en petit groupe pour mieux apprivoiser l’environnement et faciliter les rencontres.

Une approche humaine

Des voyages engagés dans un tourisme à visage humain au plus près de nos voyageurs, de nos équipes et des populations locales.

Une tribu de voyageurs fidèles

Des voyageurs avides d'expériences authentiques, avec lesquels nous entretenons des relations durables fondées sur la confiance et notre passion commune pour l'Aventure.

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