Un trek aux sommets du Chili et de la Bolivie !
Voici un trek qui s'adresse aux randonneurs avides de défis ! Guidés par Sébastien, nous partons à la conquête de "ses" sommets préférés dans des contrées sauvages, minérales et colorées au possible qu'il sillonne régulièrement depuis 20 ans et connait par cœur.
Il prend pour terrain de jeu les volcans d'Atacama. Avis à ceux qui rêvent de passer la barre symbolique des 6 000 m ! L'idée de cette expé, qui nous est venue sur les pentes du Licancabur est de faire le focus sur les géants du Chili et de Bolivie en plein désert. Nous arpentons de beaux classiques et d'autres lieux bien plus confidentiels en laissant toujours à bonne distance le tourisme de masse qui assaille aujourd'hui San Pedro de Atacama.
Les lumières, les couleurs, les dimensions, un ciel cristallin, la force de la nature, terres indomptées, le nom d'Atacama résonne comme une promesse. C'est ce que nous allons vivre jour après jour, d'une ambiance à l'autre, en évitant de manière très habile le tourisme de masse, pour plonger dans ce joli tableau esquissé dans notre imaginaire. L'aventure s'organise en plusieurs chapitres.
- Phase essentielle d'acclimatation à l'altitude par un trek dans le désert, entre canyons et plateaux arides, entre 2500 et 4400 m. Premier contact avec le climat, la géologie, la flore et la faune
- Exploration de l'Altiplano chilien, premier aperçu des paysages qui nous attendent en Bolivie. 2 ascensions : Les volcans Láscar (5592 m) et Zapaleri (5653 m).
- Exploration de l'Altiplano bolivien, le Sud Lipez. 2 ascensions : Les volcans Licancabur (5920 m) et Uturuncu (6008 m)
- Phase de repos, découverte de la belle ville de Potosi et de sa mine d'argent, et immersion dans les blancs infinis du salar d'Uyuni. 1 ascension : Le volcan Tunupa (5321 m).
- Pour conclure cette expédition, les 6176 m du volcan Aucanquilcha avant notre retour à la civilisation.
Tout ce crescendo est rythmé par notre logistique qui alterne les nuits sous tente, chez l'habitant, dans les refuges de montagnards et des hôtels confortables. La rudesse des nuits sous tente est compensé par le confort douillet des hôtels. La rusticité des refuges contraste avec les nuits chez l'habitant. Enfin l'alternance d'efforts et de journées plus "cools" nous permet de récupérer entre chaque épreuve.
La qualité des logistiques de transport et de bivouacs que nous avons réussi à mettre en place au Chili et en Bolivie sont suffisamment rares pour être signalées et valorisées. Elles font la différence et nous permettent des approches inédites de ces territoires, là où les autorités chiliennes limitent les désormais campements sauvages dans les sites les plus connus et où en Bolivie, et spécialement sur le salar d'Uyuni, l'équipement de bivouac est presque totalement inexistant.