Une traversée originale de la Russie à la Chine en Transsibérien
Ce n’est pas un voyage comme les autres : le parcours proposé ici est une véritable traversée d’un continent en plein hiver, couvrant trois pays aux dimensions gigantesques : la Russie, la Mongolie et la Chine. Traversée de villes aussi mythiques que fabuleuses : St Petersbourg, Moscou, Oulan Bator et Pékin. Il permet d’approcher des milieux extraordinaires, différents peuples et cultures mais surtout de voyager à bord d’un train dont le tracé ferroviaire est légendaire, le Transsibérien ! À SAVOIR : pour des raisons géopolitiques, le ministère des affaires étrangères français classe la destination Russie en zone rouge, nous sommes malheureusement dans l'obligation de suspendre nos départs.
Par un voyage pas comme les autres !
Le parcours proposé ici est une véritable traversée d’un continent et qui plus est, en hiver. Il couvre trois pays aux dimensions gigantesques : la Russie, la Mongolie et la Chine. Il traverse des villes aussi mythiques que fabuleuses : St Petersbourg, Moscou, Oulan Bator et Pékin. Ce voyage de découverte permet d’approcher des milieux extraordinaires, différents peuples et cultures mais surtout de voyager à bord d’un train dont le tracé ferroviaire est légendaire : le Transsibérien !Le tout, au cœur de l’hiver quand le tourisme est quasi absent et quand les habitants sont plus ouverts à la rencontre et à rechercher un peu de chaleur humaine.
Ouvrez un atlas et regardez !Regardez bien où se trouve St Petersbourg et ensuite cherchez Pékin. Vos yeux viennent de balayer une partie de l’Europe et les immensités de l’Asie. Maintenant fermez les yeux : Imaginez la Neva gelée devant les superbes bâtiments de St Petersbourg, le Kremlin et la place rouge à Moscou, puis le départ pour le train mythique, la campagne russe qui défile et les forêts de bouleaux, la buée que font les femmes russes en chapka sur les quais enneigés du Transsibérien, quelques rencontres lors de balades dans le train, « on a pas vu le temps passer ». La glace du Baïkal et à nouveau le train, la rencontre avec Ulaan-baator, la découverte de la steppe figée par l’hiver contrastant avec la vie chaleureuse sous la yourte en Mongolie. La yourte devient un îlot de chaleur au milieu d’une steppe gelée. Un froid sec nous accompagne la journée, un feu réparateur nous réchauffe le soir et nous avons le temps de comprendre la vie de ces éleveurs restés si proches de la nature.Notre périple se termine par la visite de la fabuleuse Cité Interdite de Pékin, la symbolique Place Tian An Men, les charmants dédales de ruelles des quartiers populaires Hutongs sans oublier un échantillon des 7200 kilomètres de la Grande Muraille de Chine.Tout cela en un seul voyage avec seulement quelques anecdotiques rencontres de touristes. Pourquoi avoir choisi l’hiver ?
Tout simplement pour se retrouver hors du temps, hors de la haute saison touristique, à une période pendant laquelle l’activité est moindre, les villageois plus disponibles pour discuter sachant que rencontrer des occidentaux en cette saison attire une forme de curiosité bienveillante. Mais l’hiver, c’est surtout la magie des paysages figés par le froid, des ambiances et lumières hivernales tout simplement féeriques. Pourquoi le train ?
Parce qu’il est plus confortable qu’un bus et surtout, il nous immerge au milieu de la population locale, pendant le trajet entre Moscou et Irkoutsk s’organise un véritable petit séjour à bord, de wagons en wagons, selon les classes, la société russe se livre à nous. Bien entendu, l’hiver est moins fréquenté que l’été et les wagons de classes populaires sont les plus peuplés, ce n’est alors que prétexte de balades à bord du train et en quelques mots en russe, en anglais et nous voilà avec un ancien du KGB, une étudiante bouriate, une famille qui rentre en Sibérie.
