Climat
Ce voyage, à cheval sur trois pays, ne peut évidemment pas être réalisé toute l’année. Les dates de mars/avril et d’octobre/novembre nous semblent idéales : en plus d’être moins chères qu’en juillet/août, la température est alors généralement agréable voire chaude en journée, mais baisse le soir en altitude, notamment sur l’altiplano et sur le lac Titicaca. Mais le froid est moins vif qu’en juillet/août. La météo à cette saison est traditionnellement sèche, mais des pluies peuvent toujours survenir, ce qui serait malgré tout surprenant. Compter en moyenne des températures e l’ordre de + 15/18°C en journée, et des températures nocturnes à l’extérieur de -5°C pour les nuits les plus hautes, et donc les plus froides. Forcément, en juillet/août, les nuits sont plus froides, mais le climat est toujours sec donc très favorable également et en journée la températeure est le plus souvent agréable.
Hébergement
Ce long périple vous emmène successivement en hôtels en ville, en auberges plus simples dans les villages, et chez l’habitant sur le lac Titicaca. Il s’agit toujours d’hôtels possédant des chambres double avec salles de bains. Pour les auberges, seule celle de Guallatire, au Chili, ne possède pas de chambres double mais de petits dortoirs. L’eau chaude n’y est pas garantie. A Jirira, en Bolivie, il s’agit également de chambres double, mais là non plus l’eau chaude n’est pas garantie. Ce sont donc les deux seules nuits dans ce cas sur tout le voyage. Vous pourrez recharger les batteries chaque jour ou presque, sauf coupure d’électricité imprévue.
Nourriture
Ce sera là aussi très varié pour ce voyage : patates et lama seront au menu côté péruvien, où votre guide vous emmènera manger dans des restaurants typiques et locaux, alternant avec certains repas plus conventionnels pour varier les plaisirs. Dès l’arrivée sur la côte Pacifique, le poisson et les fruits de mer remplaceront la viande, avant que les patates ne côtoient la quinoa et le maïs en Bolivie. Bref, une alimentation variée mais toujours riche et savoureuse.
Encadrement
Nous travaillons avec deux équipes distinctes sur ce voyage.
Un guide péruvien francophone de notre équipe fidèle vous accompagne tout au long du séjour au Pérou, depuis votre arrivée à Cusco jusqu’à votre départ pour le Chili, à Arica. Il s’agit le plus souvent de Mario ou d’Aquino.
Au Chili, c’est Eduardo qui prend le relais. Installé depuis très longtemps à Arica, ethnologue de profession, Eduardo connaît toute la région par cœur. Pendant les années noires, La famille d'Eduardo était en exil politique. C'est en France et en Algérie qu'ils ont trouvé refuge. Il maîtrise donc un français parfait depuis son enfance. C’est une chance que de parcourir ces étendues sauvages en sa compagnie. Il sera donc avec vous d’Arica à Calama, y compris dans la partie bolivienne dans le Sud Lipez.
Bon à savoir :
Envoyez-nous le scan ou une photo de la page d'identité de votre passeport. Pour réserver les vols intérieurs entre autre, ou encore le train et les entrées au Machu Picchu, nous avons besoin pour chacun d’entre vous, et cela dès votre inscription, des informations suivantes :
- Nationalité
- Numéro du passeport
- Date de délivrance
- Date d’expiration
- Date de naissance
- Profession
Merci de nous les communiquer avec votre contrat signé à la validation de votre inscription. Le cas échéant, si vous n’avez pas encore votre passeport à la date de l’inscription, nous comptons sur vous pour nous les faire parvenir aussi vite que possible. Faute d’avoir ces éléments à plus de 90 jours du départ, il est possible que nous soyons obligés de vous facturer un supplément pour les vols intérieurs comme pour le train de Machu Picchu si la classe de réservation prévue n’est plus disponible.
Pourboires
Libre à chacun de participer ou non, mais Le pourboire est d'usage au Pérou, au Chili et en Bolivie. Le budget à prévoir est de l’ordre de 50 à 90 € par personne (gardez de préférence des petites coupures, en Euro, en Dollars US ou en monnaie locale). Prévoyez :
- 1,50€ à 2 € par jour et par personne pour le guide
- 1€ par jour et par personne pour les autres intervants (chauffeurs, guides locaux, etc.)
Argent
3 pays, 3 monnaies :
- le Sol péruvien
- le Peso chilien
- le Boliviano
Au début du voyage, au Pérou, nous ne croiserons pas de bureau de change avant de revenir à Cusco, le jour 5. Evitez ceux des aéroports de Lima et Cusco car leurs commissions sont très élevées.
À Lima, vous pourrez payer vos consommations à l'hôtel, directement par carte bancaire. Renseignez-vous auprès de votre banque mais, de manière générale, il est plus économique de payer les commerçants directement avec la carte bancaire. Mais, évidemment, tous les commerces ne sont pas équipés d'un terminal de paiement. Vous pourrez aussi retirer de l'argent dans un distributeur automatique. Il y en a deux à côté de votre hôtel à Lima. Une fois arrivés à Cusco, le jour 2, votre guide organisera un arrêt commun pour que tout le monde puisse retirer en même temps et ainsi, gagner du temps. N'hésitez pas à aborder le sujet lors de votre rencontre.
Emportez 200€ à 300€ en liquide, en cas de problème avec votre carte bancaire.
En arrivant au Chili, le jour 13, au grand poste frontière d'Arica, vous pourrez changer vos Sols péruviens contre des Pesos chiliens. Vous pourrez aussi retirer de l'argent en ville, à Arica. Abordez rapidement le sujet avec le guide pour que tout le monde retire en même temps et ainsi gagner du temps.
En arrivant en Bolivie, le jour 17, vous pourrez changer vos Pesos chiliens contre des Bolivianos, à la frontière.
En revenant au Chili, le jour 20, vous pourrez changer vos Bolivianos contre des Pesos chiliens dans le village de San Pedro de Atacama.
Sécurité :
Le Pérou est un pays sûr depuis la disparition du Sentier Lumineux. Seule Lima est une ville où sortir la nuit dans certains quartiers est déconseillé. Vous n’êtes donc que très peu concernés. Au Chili, rien à signaler, les zones traversée étant très sûres. En Bolivie, nous ne passons que 5 journées dans le Sud Lipez, loin de la civilisation. Cependant il faut toujours garder en tête qu’exhiber appareils photos ou autres objets de valeur est non seulement très malvenu dans un pays pauvre, mais aussi risqué vis-à-vis d’éventuels pick-pockets.